Analyse/catalyse de situation

De LERDA
Aller à : navigation, rechercher

Si nous tentons de comprendre la complexité croissante de notre vie quotidienne, elle semble résulter d'un passage à l'échelle du nombre d'eccéités impliquées dans leurs quatre dimensions :

  • intérieure (sujet),
  • antérieure (trajet),
  • extérieure (objets)
  • et ultérieure (projet).

Ceci tend à en lisser les différences, ce qui en rend le discernement plus difficile, par le nombre de :

  • leurs particularités (forjet),
  • relations (surjet)
  • et oppositions (rejet).

Nous ne parvenons plus à en discerner le détail :

  • les existants (données),
  • les qualités (métadonnées),
  • et les liens (syllodonnées).

Nous devons remplacer la précision des faits particuliers par la probabilité des effets moyens.

Et par là, nous sommes statistiquement moyennement justes/injustes, avec une perte progressive de contrôle

  • et sur la statistique
  • et sur la réalité.

Ceci ne peut que nous conduire tôt ou tard à la criticalité qui se chargera par la crise de reprendre les choses en main à sa façon qui s'imposera à notre libre-arbitre.


La parade est l'augmentation de notre discernement préalable,

  • par la sagesse contre la complication,
  • par la machine contre le nombre,
  • par la conjugaison des sagesses et des machines contre l’exponentiation des deux à la fois.

Cette conjugaison passe par l'échange des connaissances et l'accumulation des savoirs. Les machines et les connaissances se vendent, pas les savoirs ni la sagesse, quoi qu'en disent les charlatans qui tentent de berner les badauds et les politiques que croient les benêts par espoir respectable si souvent déçu.

La clé est donc l'organisation des espaces relationnels homme/machine, connaissance et savoir, en y cherchant tout azimut l'optimisation mutuelle des cérébriques naturelles et artificielles, par le développement des échanges de contributions libres, institutionnelles et commerciales (DECLIC).

Ceci réclame une nouvelle approche de la gestion cognitive et de la facilitation, et non plus seulement de l'aide, à la conduite des processus réticulaires et de la prise de décision.


L'objectif du LERDA est d'apporter une contribution Relationnels Libres à la recherche, à la résolution, à la normalisation et à la documentation de son algorithmie protocolaire ouverte par une double démarche :

  • d'analyse de la multiplicité des cas.
  • de catalyse d'une doctrine et d'une méthodologie anthropobotique (symbiose de travail homme/bots - processeur autonome communiquant).

Il est particulièrement orienté vers une triple approche :

  • ontographique : diktyologie, carte vivante du réseau, des éléments informationnels et des liens documentaires.
  • d'agorique relationnelle : dynamique des tensions et contraintes au sein de la thématique traitée.
  • d'achitectonie des domaines : ontologie des convergence initiales sur lesquels pourront se réunir une topologie du contexte, une intercompréhension du sujet, et une architecture ergonomique et informatique de son traitement.