Modes de Pensée : Différence entre versions

De LERDA
Aller à : navigation, rechercher
(Page créée avec « ; Le raisonnement inductif : il part d’observations particulières pour aboutir à une conclusion de portée générale. ; Le raisonnement déductif : il part d’une... »)
 
 
(5 révisions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 2 : Ligne 2 :
 
   
 
   
 
; Le raisonnement déductif : il part d’une idée générale pour en déduire des propositions particulières.
 
; Le raisonnement déductif : il part d’une idée générale pour en déduire des propositions particulières.
 +
 +
; Le raisonnement abductif : Il infère des causes probables à un fait observé.
 
   
 
   
 
; Le raisonnement par analogie : il procède à une comparaison avant d’aboutir à une conclusion.
 
; Le raisonnement par analogie : il procède à une comparaison avant d’aboutir à une conclusion.
Ligne 13 : Ligne 15 :
 
; Le raisonnement concessif : il consiste à admettre en partie des arguments de la thèse adverse et à leur opposer d’autres arguments.
 
; Le raisonnement concessif : il consiste à admettre en partie des arguments de la thèse adverse et à leur opposer d’autres arguments.
  
; Le raisonnement perductif :
+
; Le raisonnement perductif : il consiste à utiliser ou comparer des chemins/enchainements de raisonnements successifs.
  
; le raisonnement itéro-déductif :
+
; le raisonnement itéro-déductif : il consiste à récusivement affiner une déduction au fil d'une itération.
  
; le raisonnement plegmatif :
+
; le raisonnement plegmatif [[Fichier:Plegma.gif|135px|link=|right]] : attention ceci est sans doute fondamental en ce sens que le plegma (tresse en grec) ou plegme est un arrangement tenségritaire de réponses capable de résoudre au mieux une problématique abductive, dynamique ou actuelle, par diaplexie abductive (intégration syllogistique et statistique pour éclairer la diversité) – n’en demandez pas plus : nous allons encore plus nous amuser avec le « et » mathémagorique qu’avec le « + » mathématique », ses émergences homéodynamiques qu'avec les conclusions homéostatiques, et sa cybernétique qu'avec sa logique.

Version actuelle en date du 19 janvier 2021 à 14:00

Le raisonnement inductif 
il part d’observations particulières pour aboutir à une conclusion de portée générale.
Le raisonnement déductif 
il part d’une idée générale pour en déduire des propositions particulières.
Le raisonnement abductif 
Il infère des causes probables à un fait observé.
Le raisonnement par analogie 
il procède à une comparaison avant d’aboutir à une conclusion.
Le raisonnement par l’absurde 
il imagine les conséquences absurdes d’une idée pour la réfuter.
Le raisonnement critique 
il consiste à contester une opinion adverse
Le raisonnement dialectique 
il consiste à peser les arguments favorables ou défavorables à une thèse.
Le raisonnement concessif 
il consiste à admettre en partie des arguments de la thèse adverse et à leur opposer d’autres arguments.
Le raisonnement perductif 
il consiste à utiliser ou comparer des chemins/enchainements de raisonnements successifs.
le raisonnement itéro-déductif 
il consiste à récusivement affiner une déduction au fil d'une itération.
le raisonnement plegmatif
Plegma.gif
 
attention ceci est sans doute fondamental en ce sens que le plegma (tresse en grec) ou plegme est un arrangement tenségritaire de réponses capable de résoudre au mieux une problématique abductive, dynamique ou actuelle, par diaplexie abductive (intégration syllogistique et statistique pour éclairer la diversité) – n’en demandez pas plus : nous allons encore plus nous amuser avec le « et » mathémagorique qu’avec le « + » mathématique », ses émergences homéodynamiques qu'avec les conclusions homéostatiques, et sa cybernétique qu'avec sa logique.