Speculatorium

De LERDA
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Wikipedia nous dit qu'un "réfectoire" (nom masculin venant du latin ecclésiastique refectio ayant lui-même une base latine, refectorius signifiant « qui restaure »), est une salle où les membres d'une même communauté religieuse prennent leur repas ensemble. Le terme est également utilisé pour les lieux de restauration des collectivités, des établissements d'éducation et d'enseignement où il est synonyme de cantine.

Nous considèrerons ici par analogie qu'un "spéculatoire" (venant du bas latin speculatio « lieu d'observation » ayant donné « considération, spéculation théorique ») est à l'esprit ce que le réfectoire est au corps. C'est donc un lieu de spéculation ou d'observation théorique pour des perspectives nouvelles.

Entre réfectoire et spéculatoire, lauditoire actuel passe beaucoup de temps dans l'aléatoire de la cuisine monétaire, banquière, financière, commerciale, politique, etc.

Le spéculatorium du LERDA est simplement un reposoir de suppositions spéculatives, et le cas échéant contradictoires, sujettes à théories.




matière = cristallisation énergique 

l'idée est simple : qu'est aujourd'hui l'ultime état de l'insécable de Démocrite. En représentation informationnelle c'est la "monade dyadique" "est, n'est pas". Dans son reflet informatique, traitable par la logique (dialectique) de l'ordinateur elle forme le maillage des bits (Leibnitz, Basile Bouchon) : "0, 1".
Dans la réalité orientée de la dynamique de sa tenségrité agorique (polylectique) c'est le "qbit" d'énergie. Le quantum ultime du cristal mobile de la digisphère : à ce maillage quantique là, il y a, il n'y a pas de granulat vectoriel de tension énergétique, orienté selon son qbit.


univers 
immense ordinateur quantique calculant en permanence la valeur de son évolution selon une agorique "téléonologique", c'est à dire conjuguant une cause finale (téléonomie) constamment nomologiquement (téléologie) remise en cause, en particulier par le libre arbitre humain, c'est à dire la capacité de modifier l'ordre des possibles (la loi première étant que tout va au premier (rendu) possible - principe de primopossibilité.