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+ | '''Mauperthuis''' (1744) a établi le principe de moindre action : « L'Action est proportionnelle au produit de la masse par la vitesse et par l'espace. Maintenant, voici ce principe, si sage, si digne de l'Être suprême : lorsqu'il arrive quelque changement dans la Nature, la quantité d'Action employée pour ce changement est toujours la plus petite qu'il soit possible. » | ||
− | + | '''Varella''' a défini l'énaction : "the manner in which a subject of perception creatively matches its actions to the requirements of its situation". Ceci en fait trés exactement le coeur de la cybernétique ('''action -> énaction -> réaction'''), la réponse aux questions de Leibnitz à Descartes et ainsi le coeur architectonique de l'univers à travers le principe de moindre énaction qui explique de façon internet le principe de moindre action de Mauperthuis qui est, avec la complexité/chaos de Poincaré, qui s'en trouve expicité, la base de la science moderne. | |
+ | "Dans la nature tout obéit au principe de moindre énaction qui est que tout va au préalablement rendu premier possible, c'est à dire au rendu plus facile, au moindre demandeur d'énergie considérative, au plus rapide". | ||
− | + | Quantiquement : "au microétat le moins coûteux à obtenir", relativement : "au plus proche". Ce qui d'une autre façon est le principe de simplicité. | |
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− | Poincaré nous a démontré la nécessité de la relativité qu'Einstein a expliquée, mais que nous n'avons pas pu encore intégrer au quantique de l'ultime insécables de Démocrite ni à la sociétabilité de la multitude des personnes humaines, confrontés sans doute à l'incomplétude mathématique de Goëdel et à un humanisme incomplet. En venant du Bio, Maturana et Varela nous ont introduit à l'idée d''''autopoïèse''' à partir de l'analyse du vivant. Et par elle à la notion d'énaction, dont Louis Pouzin nous a donné la structure de "réseau des réseaux". Platon nous a donné la clé de la réflexion intérieure des choses qui est celle du tiers exclu. À partir de laquelle Aristote put bâtir la logique dialectique grâce à sa clé de tout qui est le syllogisme de l'intellition. Wiener considérant le système de Von Bertalanfy de l'extérieur, comme une boite noire, lui a appliqué le discours monolectique et inaffectable de la cybernétique. Les Hardy confrontés au système en réseau informatiquement capacité, ont dû commencer à résoudre l'agorique polylectique du tiers non exclu, nous donnant beaucoup des éléments de cohérences restreinte (systèmes fermés) et générale (systèmes ouverts, Univers) que nous cherchons. | + | Poincaré nous a démontré la nécessité de la relativité qu'Einstein a expliquée, mais que nous n'avons pas pu encore intégrer au quantique de l'ultime insécables de Démocrite ni à la sociétabilité de la multitude des personnes humaines, confrontés sans doute à l'incomplétude mathématique de Goëdel et à un humanisme incomplet. En venant du Bio, Maturana et Varela nous ont introduit à l'idée d''''autopoïèse référentielle''' à partir de l'analyse du vivant. Et par elle à la notion d'énaction, dont Louis Pouzin nous a donné la structure de "réseau des réseaux". Platon nous a donné la clé de la réflexion intérieure des choses qui est celle du tiers exclu. À partir de laquelle Aristote put bâtir la logique dialectique grâce à sa clé de tout qui est le syllogisme de l'intellition. Wiener considérant le système de Von Bertalanfy de l'extérieur, comme une boite noire, lui a appliqué le discours monolectique et inaffectable de la cybernétique. Les Hardy confrontés au système en réseau informatiquement capacité, ont dû commencer à résoudre l'agorique polylectique du tiers non exclu, nous donnant beaucoup des éléments de cohérences restreinte (systèmes fermés) et générale (systèmes ouverts, Univers) que nous cherchons. |
A partir de ces éléments notre problème est celui de la machine informatique, que nous voulons un bot utile comme un outil à notre service pour le "fait de tête", comme la machine mécanique l'est pour le "fait à la main", mais dont nous ne voulons pas qu'elle soit l'occasion de sociopoïèses politiques, économiques, communautaristes qui nous asserviraient comme déjà nous en menacent celles de l'industriel, de l'administration, du consumérisme. | A partir de ces éléments notre problème est celui de la machine informatique, que nous voulons un bot utile comme un outil à notre service pour le "fait de tête", comme la machine mécanique l'est pour le "fait à la main", mais dont nous ne voulons pas qu'elle soit l'occasion de sociopoïèses politiques, économiques, communautaristes qui nous asserviraient comme déjà nous en menacent celles de l'industriel, de l'administration, du consumérisme. | ||
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Le domaine du LERDA est celui de l'éthitechnique et son ambition de protection écologique générale, de développement d'intérêt commun et de contre-guerre de précaution (prévenir les conflits futurs par l'aménagement du possible présent) est la recherche, la documentation et l'aide à la programmation de ce qui a trait à la cohérence poiétique, au service de la compréhension et de l'adaptation favorable de la réalité et d'une meilleure intercompréhension entre tous et chacun. | Le domaine du LERDA est celui de l'éthitechnique et son ambition de protection écologique générale, de développement d'intérêt commun et de contre-guerre de précaution (prévenir les conflits futurs par l'aménagement du possible présent) est la recherche, la documentation et l'aide à la programmation de ce qui a trait à la cohérence poiétique, au service de la compréhension et de l'adaptation favorable de la réalité et d'une meilleure intercompréhension entre tous et chacun. | ||
− | Pour y parvenir, elle s'attache à l'exploration, l'analyse, l'évocation, l'expérimentation informatique d'une modélisation architectonique générale (architectonie) de l'autopoïèse de chaque élement à l'holopoièse universelle : ALFA (Architectonie LIBRE/FREE Architectony). | + | Pour y parvenir, elle s'attache à : |
+ | * l'exploration, l'analyse, l'évocation, l'expérimentation informatique d'une modélisation architectonique générale (architectonie) de l'autopoïèse de chaque élement à l'holopoièse universelle : ALFA (Architectonie LIBRE/FREE Architectony). | ||
+ | * l'aide à la constitution du système de référentiel mutuellement documenté (Mutually Documented Referential System (MDRS) contunauation de l'INTLFILE d'INTLNET premier référentiel du catenet mondial). | ||
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L'intelligramme (datagramme structuré) se propage librement à travers le réseau avec : | L'intelligramme (datagramme structuré) se propage librement à travers le réseau avec : | ||
* ses données, | * ses données, | ||
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L'on a pendant des millénaires fait du '''hardware''' sans le savoir. Puis tel M. Jourdain on s'est mis à faire du '''software'''. Comme pour la poésie il fallait appliquer des règles, commerciales celles-là. Puis Stallman est arrivé et a découvert les trois principes du Libre, qui sont quatre comme les trois mousquetaires, de 0 à 3. | L'on a pendant des millénaires fait du '''hardware''' sans le savoir. Puis tel M. Jourdain on s'est mis à faire du '''software'''. Comme pour la poésie il fallait appliquer des règles, commerciales celles-là. Puis Stallman est arrivé et a découvert les trois principes du Libre, qui sont quatre comme les trois mousquetaires, de 0 à 3. | ||
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La géométrie dit que par deux points passe une seule et même droite. | La géométrie dit que par deux points passe une seule et même droite. | ||
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Ceci nous permet de découvrir que nos visions de l'univers sont à la fois : | Ceci nous permet de découvrir que nos visions de l'univers sont à la fois : | ||
* '''numériques''' : c'est à dire continue ou noétique puisque nous l'intégrons par notre cerveau au niveau du '''sentiment''' (gradué). | * '''numériques''' : c'est à dire continue ou noétique puisque nous l'intégrons par notre cerveau au niveau du '''sentiment''' (gradué). | ||
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Notre processus noétique de pensée nous permet d'explorer cette réalité par notre cérébrique naturelle (cerveaux) et artificielle (ordinateurs). Ceci nous a permis d'identifier l'univers comme un '''chaos''' (confusion) '''déterministe''' (les choses sont en intelligence) et '''fractal''' (cette intelligence est indépendante de l’échelle) dont, semble-t-il, la dynamique provient de l'instabilité (neg)entropique (cf. infra) entre ordre, désordre et chaos. Nous appelons "'''cyberespace'''" la vision (informatique) qu'en ont nos machines. | Notre processus noétique de pensée nous permet d'explorer cette réalité par notre cérébrique naturelle (cerveaux) et artificielle (ordinateurs). Ceci nous a permis d'identifier l'univers comme un '''chaos''' (confusion) '''déterministe''' (les choses sont en intelligence) et '''fractal''' (cette intelligence est indépendante de l’échelle) dont, semble-t-il, la dynamique provient de l'instabilité (neg)entropique (cf. infra) entre ordre, désordre et chaos. Nous appelons "'''cyberespace'''" la vision (informatique) qu'en ont nos machines. | ||
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L''''information''' est ce qui augmente la connaissance (notions) des choses : | L''''information''' est ce qui augmente la connaissance (notions) des choses : | ||
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Ce à quoi nous sommes confrontés est donc ce que l'on appelle la '''singularité technologique''' qui nous en '''facilite''' la maîtrise face à l'augmentation de sa '''complexité''', donc une adaptation de la '''liberté humaine''' aux nouveaux territoires digitaux. | Ce à quoi nous sommes confrontés est donc ce que l'on appelle la '''singularité technologique''' qui nous en '''facilite''' la maîtrise face à l'augmentation de sa '''complexité''', donc une adaptation de la '''liberté humaine''' aux nouveaux territoires digitaux. | ||
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L''''agorique''' (du grec agora, grand'place) est l'étude du discours ou des relations entre les '''eccéités''' (ce qui peut s'indiquer) de l'univers. Elle est notamment caractérisée par le niveau de réduction considéré de sa perspective relationnelle. Une eccéité peut être considérée à travers un de ses '''microétats''' (c'est à dire une photo de l''''effectif''' à un instant choisi - le temps étant l'écoulement actuel ['présent'] du possible ['futur']) dans l'effectif ['passé']) : | L''''agorique''' (du grec agora, grand'place) est l'étude du discours ou des relations entre les '''eccéités''' (ce qui peut s'indiquer) de l'univers. Elle est notamment caractérisée par le niveau de réduction considéré de sa perspective relationnelle. Une eccéité peut être considérée à travers un de ses '''microétats''' (c'est à dire une photo de l''''effectif''' à un instant choisi - le temps étant l'écoulement actuel ['présent'] du possible ['futur']) dans l'effectif ['passé']) : | ||
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Le "cyberespace" n'est donc pas un espace nouveau, mais une perspective généralisée de l'univers où : | Le "cyberespace" n'est donc pas un espace nouveau, mais une perspective généralisée de l'univers où : | ||
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En raison de notre dépendance de la facilitation informatique pour notre accès à l'information à son niveau digital, les "cyber-" transpositions techniques, économiques, commerciales, politiques, militaires ne sont que des extensions de notre perception de la réalité. Elles sont plus particulièrement dépendantes de l'évolution, de la protection et de la maîtrise de cette facilitation. | En raison de notre dépendance de la facilitation informatique pour notre accès à l'information à son niveau digital, les "cyber-" transpositions techniques, économiques, commerciales, politiques, militaires ne sont que des extensions de notre perception de la réalité. Elles sont plus particulièrement dépendantes de l'évolution, de la protection et de la maîtrise de cette facilitation. | ||
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:* '''opératoires''' : logiciels, protocoles, paramètres, applications, opérations, sécurité, etc. ('''software''' / '''multitechnologies''' -'' comme l'Internet, Ethernet, etc.'') | :* '''opératoires''' : logiciels, protocoles, paramètres, applications, opérations, sécurité, etc. ('''software''' / '''multitechnologies''' -'' comme l'Internet, Ethernet, etc.'') | ||
:* '''sociétaux''' : utiliser ensemble, règles et lois, formation, référentiels, pratiques, gouvernance, etc. ('''brainware''' / '''niveau d’alphabétisation digitale'''). | :* '''sociétaux''' : utiliser ensemble, règles et lois, formation, référentiels, pratiques, gouvernance, etc. ('''brainware''' / '''niveau d’alphabétisation digitale'''). | ||
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Version actuelle en date du 2 septembre 2017 à 00:09
Dernières Contributions
Principe de moindre énactionMauperthuis (1744) a établi le principe de moindre action : « L'Action est proportionnelle au produit de la masse par la vitesse et par l'espace. Maintenant, voici ce principe, si sage, si digne de l'Être suprême : lorsqu'il arrive quelque changement dans la Nature, la quantité d'Action employée pour ce changement est toujours la plus petite qu'il soit possible. » Varella a défini l'énaction : "the manner in which a subject of perception creatively matches its actions to the requirements of its situation". Ceci en fait trés exactement le coeur de la cybernétique (action -> énaction -> réaction), la réponse aux questions de Leibnitz à Descartes et ainsi le coeur architectonique de l'univers à travers le principe de moindre énaction qui explique de façon internet le principe de moindre action de Mauperthuis qui est, avec la complexité/chaos de Poincaré, qui s'en trouve expicité, la base de la science moderne. "Dans la nature tout obéit au principe de moindre énaction qui est que tout va au préalablement rendu premier possible, c'est à dire au rendu plus facile, au moindre demandeur d'énergie considérative, au plus rapide". Quantiquement : "au microétat le moins coûteux à obtenir", relativement : "au plus proche". Ce qui d'une autre façon est le principe de simplicité.
AutopoïèsePoincaré nous a démontré la nécessité de la relativité qu'Einstein a expliquée, mais que nous n'avons pas pu encore intégrer au quantique de l'ultime insécables de Démocrite ni à la sociétabilité de la multitude des personnes humaines, confrontés sans doute à l'incomplétude mathématique de Goëdel et à un humanisme incomplet. En venant du Bio, Maturana et Varela nous ont introduit à l'idée d'autopoïèse référentielle à partir de l'analyse du vivant. Et par elle à la notion d'énaction, dont Louis Pouzin nous a donné la structure de "réseau des réseaux". Platon nous a donné la clé de la réflexion intérieure des choses qui est celle du tiers exclu. À partir de laquelle Aristote put bâtir la logique dialectique grâce à sa clé de tout qui est le syllogisme de l'intellition. Wiener considérant le système de Von Bertalanfy de l'extérieur, comme une boite noire, lui a appliqué le discours monolectique et inaffectable de la cybernétique. Les Hardy confrontés au système en réseau informatiquement capacité, ont dû commencer à résoudre l'agorique polylectique du tiers non exclu, nous donnant beaucoup des éléments de cohérences restreinte (systèmes fermés) et générale (systèmes ouverts, Univers) que nous cherchons. A partir de ces éléments notre problème est celui de la machine informatique, que nous voulons un bot utile comme un outil à notre service pour le "fait de tête", comme la machine mécanique l'est pour le "fait à la main", mais dont nous ne voulons pas qu'elle soit l'occasion de sociopoïèses politiques, économiques, communautaristes qui nous asserviraient comme déjà nous en menacent celles de l'industriel, de l'administration, du consumérisme. Il y a deux manières de s'y opposer :
Le domaine du LERDA est celui de l'éthitechnique et son ambition de protection écologique générale, de développement d'intérêt commun et de contre-guerre de précaution (prévenir les conflits futurs par l'aménagement du possible présent) est la recherche, la documentation et l'aide à la programmation de ce qui a trait à la cohérence poiétique, au service de la compréhension et de l'adaptation favorable de la réalité et d'une meilleure intercompréhension entre tous et chacun. Pour y parvenir, elle s'attache à :
Relatonnels LIBRESL'intelligramme (datagramme structuré) se propage librement à travers le réseau avec :
pour aller par trajets renseignés, singuliers ou parallèles, d'agent en agent, jusqu'à s'en trouver résolu.
Dans tous les cas cela m'intéresse !
MeshwareL'on a pendant des millénaires fait du hardware sans le savoir. Puis tel M. Jourdain on s'est mis à faire du software. Comme pour la poésie il fallait appliquer des règles, commerciales celles-là. Puis Stallman est arrivé et a découvert les trois principes du Libre, qui sont quatre comme les trois mousquetaires, de 0 à 3. Pendant des millénaires on a aussi fait du brainware, agitant les clochettes de notre cérébrique naturelle à grands bruits et débats communs. Maintenant, avec la digitalité mise en réseaux on s'aperçois qu'on peut les agiter en concordance, et même en concertance, mais avec gens du côté du sonnant et trébuchant qui veulent en faire de la gouvernance. D'où le problème majeur de la concertance qui va dorénavant nous accompagner : ils nous parllent de multipartieprenance pour la gouvernance de l'internet, nous parlons d'omnipartieprenance pour la concertance du catenet. Un peu de réflexion, avec du recul, fait prendre en compte un grand-vide entre hard, soft et brain-wares. Celui-du maillage organisé de tout cela : la strate du meshware, à commencer par l'absence de ses filtres et convertisseurs de frange à frange. Nous entrons là dans un domaine nouveau, abordé par la programmation multi-agent. C'est celui de la vie des intelligrammes, butinant d'agent autonome en agent autonome, dont la dynamique interne du cortège protocolaire devient application répartie. C'est ce que j'appelle l'ASAP : "application as a protocol".
Nos sept sensLa géométrie dit que par deux points passe une seule et même droite. Les mathématiques disent qu'entre deux points il y a une infinité de points. La digitalité dit qu'entre deux pixels, il n'y a rien. La différence est que nos sens nous donnent une perception continue (face numérique correspondant aux mathématiques) de la discontinuité des choses (face digitale correspondant aux mathématiques discrètes) à laquelle la facilitation par ordinateur de nos sixième et septième sens nous permet de mieux d’accéder.
Nous sommes plurivisionnairesCeci nous permet de découvrir que nos visions de l'univers sont à la fois :
Notre cyberespaceNotre processus noétique de pensée nous permet d'explorer cette réalité par notre cérébrique naturelle (cerveaux) et artificielle (ordinateurs). Ceci nous a permis d'identifier l'univers comme un chaos (confusion) déterministe (les choses sont en intelligence) et fractal (cette intelligence est indépendante de l’échelle) dont, semble-t-il, la dynamique provient de l'instabilité (neg)entropique (cf. infra) entre ordre, désordre et chaos. Nous appelons "cyberespace" la vision (informatique) qu'en ont nos machines. Pour elles le cyberespace est digital. Rlles ont la gentillesse de nous le traduire en un numérique que nos sens peuvent percevoir et que notre serveau sait traiter en le traduisant du catalogique à l'analogique.
Les sept dimensions informatiquesL'information est ce qui augmente la connaissance (notions) des choses :
En étendant nos sens et notre cérébrique naturelle par des capteurs et des agents pensant autonomes (bots) issus de la technologie nous altérons nos équilibres continu/discontinu, perçu/digital, analysé/catalysé, etc. L'homme étant un animal social (Aristote), dans de tels cas (appelés "singularités" c'est toute l'architectonique de sa sociabilité qui s'en trouve étendue. La société humaine intègre celle de sa créature machinique.
les pluridonnéesCe à quoi nous sommes confrontés est donc ce que l'on appelle la singularité technologique qui nous en facilite la maîtrise face à l'augmentation de sa complexité, donc une adaptation de la liberté humaine aux nouveaux territoires digitaux. Ces territoires digitaux résultent de l’amoncellement (datamasse) de la description des micro-états quantiques :
La différence entre la donnée et la captée est l'entropie, celle entre la captée et la traitée est la néguentropie. L'entropie est le degré de discontinuité agorique qui tend chaotiquement vers l'infini selon une architectonique (déterminismes de l'univers) fractale (c'est à dire indépendante de l'échelle considérée), en raison de la dilution énergétique due à l’expansion de l'univers (question : vide dans le néant ?) depuis le "big-bang" qui n'est en fait que l'application physique d'un "bit-bang" résultant de le déchirement physique d'une continuité totale (question : de la température absolue au zéro absolu ?).
Des mots et des chosesL'agorique (du grec agora, grand'place) est l'étude du discours ou des relations entre les eccéités (ce qui peut s'indiquer) de l'univers. Elle est notamment caractérisée par le niveau de réduction considéré de sa perspective relationnelle. Une eccéité peut être considérée à travers un de ses microétats (c'est à dire une photo de l'effectif à un instant choisi - le temps étant l'écoulement actuel ['présent'] du possible ['futur']) dans l'effectif ['passé']) :
Le cyber trouLe "cyberespace" n'est donc pas un espace nouveau, mais une perspective généralisée de l'univers où :
Il se trouve que des fonctions d'influence (morphismes) peuvent entrer en contradiction (résonance) au de-là de ce seuil, au point de constituer un blocage apparent et imprévu de l'univers. C'est ce que René Thom a mathématiquement décrit par la théorie des catastrophes, et Par Bak observé sous le nom d'auto-organisation critique (self-order criticality / SOC). Le manque de prévisibilité au seuil retenu fait appeler "hasard" ce qui n'est qu'un épiphénomène de la débâcle de la continuité initiale.
CyberstormingEn raison de notre dépendance de la facilitation informatique pour notre accès à l'information à son niveau digital, les "cyber-" transpositions techniques, économiques, commerciales, politiques, militaires ne sont que des extensions de notre perception de la réalité. Elles sont plus particulièrement dépendantes de l'évolution, de la protection et de la maîtrise de cette facilitation.
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Références
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