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Le fondement architectonique n'est pas plus la "grundnorm" de Hans Kelsen, que la terre ou le soleil ne furent le centre de l'univers, mais de telles "grundnorms" sont bien le fondement de la hierarchie logique de leur système normatif :

« Toutes les normes dont la validité peut être rapportée à une seule et même norme fondamentale (Grundnorm) forment un système de normes, un ordre normatif ». (Hans Kelsen).


Le fondement architectonique de l'univers (et donc du jus naturalis, où son code poïétique fait loi) est agoriquement (raisonnement polylectique des multitudes) à trouver dans le principe cosmologique où tout est le centre de son propre univers, à travers la multitude des quels se propagent les émergences néguentropiques des mises en cohérence par réverbération et résonances réciproques.

Toutefois, cette propagation a besoin d'une source créatrice de son Etre. Pour parvenir à des cohérences durables chaque constitutif fondamental d'un système doit être cohérent aux autres non comme une facette d'une même source (ce qui ferait de l'univers un système centralisé) mais plus probablement comme l'une des images locales d'une cohérence glocale (interligence).


Norbert Wiener a écrit que "l'Homme a créé la machine à son image". Et donc : à la multitude d'images de chaque Homme de la multitude des Hommes. Il s'en suit que :

Une virtualité (être en réseau) nait de la cohérenciation intellitionnelle d'une telle source : son fondement n'est pas image de l'Etre en soi, mais un existant décidé par souci d'identifiabilité.