Analyse/catalyse de situation : Différence entre versions

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Si nous tentons de comprendre la complexité croissante de notre vie quotidienne, elle semble résulter d'un passage à l'échelle du nombre d'eccéités impliquées dans leurs quatre dimensions : intérieure (sujet), antérieure (trajet), extérieure (objets) et ultérieure (projet). Ceci tend à en lisser les différences, ce qui en rend le discernement plus difficile, par le nombre leurs particularités (forjet), relations (surjet) et oppositions (rejet).  
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Si nous tentons de comprendre la complexité croissante de notre vie quotidienne, elle semble résulter d'un passage à l'échelle du nombre d'eccéités impliquées dans leurs quatre dimensions :
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* intérieure (sujet),  
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* antérieure (trajet),  
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* extérieure (objets)  
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* et ultérieure (projet).  
  
Ne pouvant nous consacrer à en discerner les existants (données), les qualités (métadonnées) et les liens (syllodonnées) dans le détail nous remplaçons la précision des faits particuliers par la probabilité des effets moyens.
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Ceci tend à en lisser les différences, ce qui en rend le discernement plus difficile, par le nombre de :
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* leurs particularités (forjet),  
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* relations (surjet)
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* et oppositions (rejet).  
  
Et par là, nous sommes statistiquement moyennement justes/injustes, avec une perte progressive de contrôle et sur la statistique et sur la réalité. Ceci ne peut que nous conduire tôt ou tard à la criticalité qui se chargera par la crise de reprendre les choses en main à sa façon qui s'imposera à notre libre-arbitre.
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Nous ne parvenons plus à en discerner le détail :
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* les existants (données),  
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* les qualités (métadonnées),
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* et les liens (syllodonnées).
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Nous devons remplacer la précision des faits particuliers par la probabilité des effets moyens.
  
La parade est l'augmentation de notre discernement, par la sagesse contre la complication, par la machine contre le nombre, par la conjugaison des sagesses et des machines contre l’exponentiation des deux à la fois. Cette conjugaison passe par l'échange des connaissances et l'accumulation des savoirs. Les machines et les connaissances se vendent, pas les savoirs ni la sagesse, quoi qu'en disent les charlatans qui tentent de berner les badauds et les politiques que croient les benêts par espoir respectable si souvent déçu.
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Et par , nous sommes statistiquement moyennement justes/injustes, avec une perte progressive de contrôle
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* et sur la statistique
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* et sur la réalité.
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Ceci ne peut que nous conduire tôt ou tard à la criticalité qui se chargera par la crise de reprendre les choses en main à sa façon qui s'imposera à notre libre-arbitre.
  
La clé est donc l'organisation des espaces relationnels homme/machine, connaissance et savoir, en y cherchant tout azimut l'optimisation mutuelle des cérébriques naturelle et artificielle par le développement des échanges de contributions libres, institutionnelles et commerciales (DECLIC).
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La parade est l'augmentation de notre discernement,
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* par la sagesse contre la complication,
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* par la machine contre le nombre,
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* par la conjugaison des sagesses et des machines contre l’exponentiation des deux à la fois.
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Cette conjugaison passe par l'échange des connaissances et l'accumulation des savoirs. Les machines et les connaissances se vendent, pas les savoirs ni la sagesse, quoi qu'en disent les charlatans qui tentent de berner les badauds et les politiques que croient les benêts par espoir respectable si souvent déçu.
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La clé est donc l'organisation des espaces relationnels homme/machine, connaissance et savoir, en y cherchant tout azimut l'optimisation mutuelle des cérébriques naturelles et artificielles, par le développement des échanges de contributions libres, institutionnelles et commerciales (DECLIC).

Version du 4 février 2015 à 12:01

Si nous tentons de comprendre la complexité croissante de notre vie quotidienne, elle semble résulter d'un passage à l'échelle du nombre d'eccéités impliquées dans leurs quatre dimensions :

  • intérieure (sujet),
  • antérieure (trajet),
  • extérieure (objets)
  • et ultérieure (projet).

Ceci tend à en lisser les différences, ce qui en rend le discernement plus difficile, par le nombre de :

  • leurs particularités (forjet),
  • relations (surjet)
  • et oppositions (rejet).

Nous ne parvenons plus à en discerner le détail :

  • les existants (données),
  • les qualités (métadonnées),
  • et les liens (syllodonnées).

Nous devons remplacer la précision des faits particuliers par la probabilité des effets moyens.

Et par là, nous sommes statistiquement moyennement justes/injustes, avec une perte progressive de contrôle

  • et sur la statistique
  • et sur la réalité.

Ceci ne peut que nous conduire tôt ou tard à la criticalité qui se chargera par la crise de reprendre les choses en main à sa façon qui s'imposera à notre libre-arbitre.


La parade est l'augmentation de notre discernement,

  • par la sagesse contre la complication,
  • par la machine contre le nombre,
  • par la conjugaison des sagesses et des machines contre l’exponentiation des deux à la fois.

Cette conjugaison passe par l'échange des connaissances et l'accumulation des savoirs. Les machines et les connaissances se vendent, pas les savoirs ni la sagesse, quoi qu'en disent les charlatans qui tentent de berner les badauds et les politiques que croient les benêts par espoir respectable si souvent déçu.

La clé est donc l'organisation des espaces relationnels homme/machine, connaissance et savoir, en y cherchant tout azimut l'optimisation mutuelle des cérébriques naturelles et artificielles, par le développement des échanges de contributions libres, institutionnelles et commerciales (DECLIC).